Georgette Faniel, surnommée Mimi, est une femme célibataire qui vécut discrètement à Montréal de 1915 à 2002, dans le don total de sa personne au Christ. (Lire sa vie dans mon livre Georgette Faniel, le don total (Novalis) et voir ma vidéo sur elle dans ma chaîne YouTube) Elle s’est offerte au Père avec le Christ pour l’Église et le monde, témoignant de l’amour insondable de Dieu pour nous. Sa vie, ponctuée d’épiphanies étonnantes (stigmates, noces spirituelles, transfixion, etc.), est demeurée humble et joyeuse dans le service des pauvres et l’écoute des gens. Elle n’aimait pas qu’on la définisse comme une « mystique », car elle se voyait comme une femme ordinaire, à l’exemple de Marie. « Je suis une simple servante de Dieu », disait-elle. On la voit ici à l'âge de 20 ans. Je vais dégager dans cet article quelques éléments de sa relation privilégiée avec la Vierge Marie, qui a été un modèle et...
Le blogue de Jacques Gauthier
Née à Québec le 30 avril 1897, Dina s’éprend de Jésus dès le début de sa vie. « Jésus m’a mise sur la terre pour ne m’occuper que de lui », écrit-elle dans son Autobiographie. À quatorze ans, elle se consacre à Dieu en faisant une promesse privée de virginité. Douée pour la musique, elle devient, à vingt-quatre ans, une élégante pianiste de concert. Elle entre au couvent Jésus-Marie de Sillery et y fait profession, en 1923, sous le nom de Marie Sainte-Cécile de Rome. Celle que Jésus appelait « ma petite Moi-même » meurt le 4 septembre 1929 à l’âge de trente-deux ans. Elle avait dit à ses sœurs : « Au ciel, je donnerai de la joie ». Une enfant de Marie Dina a toujours eu un amour de prédilection pour la Sainte Vierge. Elle s'était consacrée privément à elle le jour de sa première communion, mais lorsqu'elle entre chez les...
Jésus, tu es pour moi le visagequi me révèle la miséricorde du Père.Un visage de beauté sur qui descend l’Esprit,un visage de bonté penché sur mon berceau,un visage sauveur qui me recrée au baptême,un visage compatissant à la fraction du pain,un visage de feu qui me transforme en ton amour. Jésus, tu es pour moi la présencequi me travaille de l’intérieur par ta parole.Une présence de ressuscité où je me reconnais vivant,une présence unique dans laquelle je rencontre l’autre,une présence réelle qui m’enveloppe d’adoration,une présence ardente qui me garde dans la foi,où mes yeux s’ouvrent à la lumière de ton mystère. Jésus, tu es pour moi la quêtejamais terminée, toujours recommencée. Une quête de joie qui me met en route avec Marie,une quête spirituelle avec les anges et les saints,une quête silencieuse dans l’oraison matinale,une quête infinie où je murmure ton nom tatoué sur mon cœur en forme de croix. Prière publiée dans le Prions...
Marie, la « comblée de grâce » n’est pas une sorte de déesse hors du temps, un personnage éthéré loin de notre quotidien. Elle fait partie de cette histoire biblique où des femmes ont eu leur importance, malgré une société fortement patriarcale : Sarah, Myriam, prophétesse et sœur de Moïse, Déborah, Esther, Judith, Houlda, Ruth. Marie, ou Myriam, qui signifie « bien-aimée de Dieu », est née d’Anne et de Joachim, entre les années 18 et 16 avant Jésus-Christ, selon un écrit apocryphe, le Protévangile de Jacques. Elle aurait été présentée au Temple à trois ans. Pour bien connaître Marie, rien ne vaut un retour aux sources : la foi de la première communauté chrétienne. L’expression de cette foi se trouve dans le Nouveau Testament. Un premier regard nous montre qu’on y parle assez peu de Marie. Les Apôtres, et surtout saint Paul, furent discrets sur la mère de Jésus. Pourtant ce silence cache des secrets que...
Nous lisons à chaque dimanche d'août de l'année liturgique B des extraits du chapitre 6 de l’évangile de saint Jean, qu'on a appelé le discours sur le pain de vie. Après avoir multiplié les pains et marché sur les eaux, Jésus livre à ses disciples un enseignement qui ne fait pas l'unanimité. Je vous invite à méditer avec moi ce chapitre que je vous présente brièvement dans cet article et un peu plus longuement dans la vidéo de ma chaîne YouTube. N’oublions pas que l’évangile de Jean fut écrit longtemps après la résurrection de Jésus. Les références eucharistiques que l’on retrouve dans le chapitre 6 sont devenues évidentes après l’institution eucharistique et la pratique sacramentelle de l’Église. Mais les disciples ne pouvaient pas comprendre certaines images eucharistiques avant le dernier repas de Jésus, avant sa mort et sa résurrection. Depuis deux millénaires, l’Eucharistie nous permet encore aujourd’hui de renconter le Christ...
Nous te rendons grâce, Seigneur Jésus, pour le don de l’Esprit Saint à l’Église. Elle est ton corps répandu dans le monde, peuple de Dieu rassemblé pour l’Eucharistie.Emplis nos cœurs de ta lumière bienfaisante. Que le Défenseur qui procède du Père et du Filsnous donne la force de témoigner de l’Évangile.Qu’il nous transforme un peu plus en ton amour,nous purifie de tout ce qui éloigne du Royaume,alors nous demeurerons en communion avec toi. Envoie sur nous ton Esprit de sagesse,et notre tristesse se changera en joie. Qu’il mette en nous tes sentiments de paix,pour que nous la répandions dans le monde. Apprends-nous à voir ce monde avec tes yeux. Que l’Esprit Créateur nous conduise vers toi,qui es le chemin, la vérité et la vie.Qu’il nous rappelle tes paroles de salut pour que nous devenions une bonne nouvelle,une prière qui prolonge ton offrande au Père. Viens, Esprit de Pentecôte et de sainteté,souffle béni et source vive dans nos cœurs, enivre-nous de ta présence...
Thérèse de Lisieux (1873-1897) écrit dans son Histoire d’une âme : «Depuis mon enfance j’avais pour [saint Joseph] une dévotion qui se confondait avec mon amour pour la Ste Vierge» (Manuscrit A 57r). La jeune carmélite n’emploie jamais le mot « dévotion » à propos de Marie, elle lui préfère le mot «amour». Le 19 octobre 1892, elle exprime à sa sœur Céline sa joie d’aimer la Sainte Vierge : A propos de la Ste Vierge il faut que je te confie une de mes simplicités avec elle, parfois je me surprends à lui dire : «Mais ma bonne Ste Vierge, je trouve que je suis plus heureuse que vous, car je vous ai pour Mère, et vous, vous n'avez pas de Ste Vierge à aimer... Il est vrai que vous êtes la Mère de Jésus mais ce Jésus vous nous l'avez donné tout entier... et Lui sur la croix il vous a donnée à nous...
Pour le mois de mai, traditionnellement dédié à Marie, le groupe Une minute avec Marie a demandé à 31 personnalités de parler de leur relation avec la Sainte Vierge. Mon témoignage est paru le 3 mai, fête des apôtres saint Philippe et saint Jacques. Marie la vivante Ma mère avait promis à la Vierge Marie que si l’accouchement se passait bien elle lui consacrerait son bébé. Je fus donc baptisé le 8 décembre, jour de l’Immaculée Conception. Marie a une place centrale dans ma vie. Je l’ai toujours priée. À la maison, nous récitions le chapelet en famille. Aujourd’hui, j’aime bien prier le chapelet en marchant à l’extérieur avec mon épouse. Nous lui avons consacré nos quatre enfants. Cela fait 42 ans que nous sommes mariés et Marie nous soutient, nous console, nous conduit toujours à Jésus. « Tout à Jésus par Marie », disait Louis-Marie Grignion de Montfort. À l’adolescence, je me suis éloigné de...
Je vous partage l'entrevue que j'ai donnée à Sabrina Covic Radojicic pour la revue croate internationale Glasnik Mira. L'article a été publié dans le numéro de mars 2021, p. 20-23. La traduction du français au croate est l'oeuvre de Davorka Jurcevic-Cerkez. Pour voir ce numéro et mon article en croate, cliquez ici. D’où venez-vous, Jacques Gauthier? Je suis né au Québec le 4 décembre 1951, près du sanctuaire marial Notre-Dame du Cap. Je suis le deuxième d’une famille de cinq enfants. Ma mère avait promis à la Vierge Marie que si l’accouchement se passait bien elle lui consacrerait son bébé. Je fus donc baptisé le 8 décembre, jour de l’Immaculée Conception. Marie a donc une grande place dans votre vie? Une place centrale. Je l’ai toujours priée. À la maison, nous récitions le chapelet en famille. Aujourd’hui, j’aime bien « marcher » le chapelet à l’extérieur avec mon épouse. Cela fait 42 ans que...
Voici le dernier de six entretiens d'une retraite sur saint Joseph. Vous pouvez la suivre dans ma chaîne YouTube en visionnant les 6 vidéos de 25 minutes. La vie de Joseph, comme celle de la Sainte Famille, est d’abord cachée en Dieu. Jésus, Marie et Joseph mènent une vie très simple à Nazareth en effectuant avec amour les petites choses du quotidien. Plusieurs de ses paraboles sont probablement inspirées de sa vie à Nazareth. Lorsqu’il parle de semailles et de moissons, du bon grain et de l’ivraie, du figuier sans figues, des ouvriers de la vigne, du bon samaritain, il a peut-être d’abord vu ces réalités dans son village Le silence de la foi Il y aurait beaucoup à dire sur cette vie cachée à Nazareth où, en voyant agir ses parents, Jésus apprend l’accueil de l’autre, le don de soi, le souci des pauvres, la solidarité envers les exclus. Mieux...
Lorsque Jésus enseigne avec autorité dans les synagogues, on s’étonne et on lui rappelle son état civil : « N’est-ce pas là le fils de Joseph » (Lc 4, 22). Ce Joseph, on le connaît bien, c’est l’humble artisan de Nazareth, l’époux de Marie. Matthieu est encore plus explicite, il précise le métier de Joseph : « D’où lui viennent cette sagesse et ces miracles ? N’est-il pas le fils du charpentier ? » (Mt 13, 54). Le fils du charpentier Si Jésus était soumis à son père, il participait sûrement à son travail. Il a peut-être pensé au charpentier de Nazareth lorsqu’il dit dans l’évangile de Jean que son Père céleste est toujours à l’œuvre. C’est ainsi qu’il répond aux Juifs qui le poursuivent parce qu’il a guéri un paralysé le jour du sabbat : « « Mon Père est toujours à l’œuvre, et moi aussi, je suis à l’œuvre. » (Jn 5, 17) Son père était un bâtisseur. Jésus...
Le pape François a dédié l'année 2021 à saint Joseph, soulignant ainsi le 150e anniversaire de sa proclamation comme patron de l’Église universelle. Il a publié une lettre apostolique sur Joseph intitulée Patris corde (Avec un cœur de père). J'en ai fait un résumé dans mon blogue du 13 décembre 2020. J'avais déjà donné six enseignements sur saint Joseph en 2013 pour Foi et Télévision chrétienne, à la suite de mon livre Saint Joseph, homme de foi (Médiaspaul). J'ai décidé de regrouper ces entretiens dans ma chaîne YouTube sous le titre: Retraite sur saint Joseph. Vous retrouvez trois de ces vidéos à la fin de l'article de mon blogue du 19 mars. Voici donc le quatrième entretien qui porte sur la paternité de Joseph. Les deux derniers entretiens seront consacrés à Joseph travailleur et au culte de saint Joseph. L'homme Joseph Joseph est un homme de son temps qui a vécu dans une époque difficile, mais qui a su...
Seigneur Jésus, vois ma douleur,immense comme le cœur.Je la cache dans tes plaies,médecin des âmes et des corps. Aie pitié de moi, viens à mon aide.La croix me porte jusqu’à ton visageJe ne sais rien de la souffrance,sinon ton nom murmuré en silence. Tu te tiens là, au plus haut de moi,quand le doute me tire vers le bas.Je t’offre une place près du lit,pour que ma tête s’y appuie la nuit. Ma prière se perd-elle dans le néant?Je communie à ton cri d’enfantement :"Mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?"Tu as pris nos angoisses dans ta passion. Sûr de ton amour et de ma faiblesse,je veux unir ma volonté à la tienne,prolonger le oui de notre mère Marie,remettre ma vie entre les mains du Père. Ô toi, le Premier-né d’entre les morts,je crois en la puissance de ta résurrection.Transforme le mal en sainteté et solidarité,pour la conversion et le salut du monde. Prière proposée pour la Journée...
Dans le mot gratitude, nous retrouvons le terme latin gratis. La gratitude est la reconnaissance d’un don, comme la vie. Le mystère de la création, raconté de manière poétique au début de la Bible, est aussi objet de gratitude. Par sa parole, Dieu crée la lumière et le firmament, les plantes et les luminaires, le jour et la nuit, les oiseaux et tous les animaux, l’homme et la femme. Au sixième jour, il exulte de gratitude et s’émerveille de l’œuvre de son amour, comme s’il nous invitait à rendre grâce avec lui : « Et Dieu vit tout ce qu’il avait fait ; et voici : cela était très bon. » (Genèse 1, 31) Le livre des Psaumes est aussi une belle école de gratitude: "Béni le Seigneur, ô mon âme, n'oublie aucun des ses bienfaits" (Ps 102) Remercier et s’émerveiller La gratitude est une vertu qui se cultive chaque jour. Nous l’acquérons en nous exerçant à...
La saga Star Wars ou La Guerre des étoiles a captivé plusieurs générations depuis quatre décennies. J’ai vu la plupart des neuf films avec mes enfants et nous reprenons à notre compte, en la parodiant un peu, la réplique culte : « Que la Force soit avec toi »! On remarque sans peine la similitude de cette formule avec l'expression liturgique : « Le seigneur soit avec vous » ou la salutation de Jésus à ses disciples après sa résurrection : « La paix soit avec vous! » (Jean 21) Pour Gary Kurtz, producteur des deux premiers épisodes de la première trilogie, l’expression viendrait de l'adieu d'origine médiévale « May God go with you » (« Que Dieu vous accompagne », « Que Dieu vous garde ». La force de Dieu Dans la Bible, Dieu est lui-même la force. Il la donne à son peuple, à David, aux prophètes. Moïse rappela que c’est le Seigneur qui fit sortir son peuple d’Égypte et le guida...
Noël! Ce mot qui vient du latin natalis, naissance, résonne étrangement cette année. La Covid-19 occupe toute la place, laissant peu d’espace pour les rassemblements dans les maisons, restaurants, églises. N’est-ce pas l’occasion de descendre en soi-même et de vivre un Noël plus intérieur, spirituel, loin du consumérisme à outrance? Le défi de la pandémie Pour le bien commun, les gouvernements nous rappellent de suivre à la lettre les consignes afin d’enrayer le virus. Nous apprenons la solitude solidaire, la proximité à distance, la présence dans l’absence, via Skype, Zoom, au royaume du virtuel. À l’heure du confinement et du télétravail, plusieurs s’inquiètent de l’avenir. Garderont-ils leur emploi? Et puis, comment oublier les milliers de décès, les aînés en résidence, les gens qui gardent des séquelles du virus après avoir été infectés? Bien sûr, le vaccin « sauveur » est arrivé, mais l’immunité collective n’est pas pour demain. Et Noël arrive avec toute son...
Le pape François a causé une certaine surprise le 8 décembre 2020 en décrétant une année spéciale dédiée à saint Joseph à l’occasion du 150e anniversaire de sa proclamation comme patron de l’Église universelle. Il a publié une lettre apostolique intitulée Patris corde (Avec un cœur de père) pour marquer le début de cette année spéciale qui se terminera le 8 décembre 2021. Écrite durant la pandémie du COVID-19, François nous livre ses brèves réflexions bibliques et spirituelles sur l’humble charpentier Joseph, gardien de la Sainte Famille, « l’homme qui passe inaperçu », « si proche de la condition humaine de chacun d’entre nous ». Une vie donnée En méditant la parole de l’ange à Joseph, « lève-toi, prends avec toi l’enfant et sa mère » (Matthieu 2, 13), le pape confie que « le but de cette lettre apostolique est de faire grandir l’amour envers ce grand saint, pour être poussés à implorer son intercession et pour imiter ses vertus...
Nous connaissons les expressions « avoir du talent », « exercer son talent ». Elles viennent de la parabole qui illustre notre responsabilité de faire fructifier les dons reçus de Dieu, en allant au bout de nos capacités, en vue de l’expansion du Royaume. Répandre les dons reçus La parabole des talents chez Matthieu est précédée de celle des dix jeunes filles invitées à des noces, où Jésus appelle à la vigilance : « Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure » (Matthieu 25, 13). Comment veiller? Jésus répond par la parabole qui suit : « C’est comme un homme qui partait en voyage : il appela ses serviteurs et leur confia ses biens » (Matthieu 25, 14). Ce maître qui s’en va distribue une véritable fortune, puisqu’un talent équivalait à plus de quinze ans de salaire. Les talents ne sont donc pas ici des aptitudes humaines, mais de l’argent à distribuer. Matthieu, qui a été un...
À l’aube de ma vie, il y a Marie, la Reine de tous les saints. Je suis né sous son manteau, car ma mère, dont les derniers mois de grossesse étaient compliqués, lui a fait ce vœu : « Si l’accouchement se passe bien, je te consacrerai mon enfant ! » Je fus donc baptisé le 8 décembre 1951, en la solennité de l’Immaculée Conception. La Mère de Dieu et de l’Église, qui demeure au cœur de la Trinité et de la communion des saints, s’est dès lors installée dans mon invisible chez-moi. J’ai toujours eu une grande tendresse pour Marie, aussi loin que je m’en souvienne. Tout petit, par exemple, j’aimais accompagner mes parents au sanctuaire marial Notre-Dame du Cap, à Trois-Rivières, non loin de la ville où nous habitions et qui s’appelle Grand-Mère, au Québec. Vers l’âge de 4 ans, j’ai été hospitalisé en raison d’une jaunisse. Parce que je pleurais trop, ma mère avait interdiction de...
La sainteté n’attend pas le nombre des années pour s’épanouir dans une âme. Carlo Acutis, décédé le 12 octobre 2006 à l’âge de quinze ans, en est la preuve. Il a été béatifié le 10 octobre 2020, en présence de ses parents, à la basilique San Francesco à Assise, sa ville de cœur. Reconnu comme un petit génie de l’informatique par ses proches, il est le premier « millenial », né entre le début des années 80 et la fin des années 90, à être inscrit à la liste des bienheureux. Sa fête liturgique est fixée le 12 octobre, jour de sa naissance au ciel. « Tous, nous avons été créés potentiellement saints. Mais Dieu nous a aussi créés libres, libres de faire aussi bien le bien que le mal. Et moi, je veux suivre l’exemple du disciple Jean, le disciple bien aimé ». (Les paroles de Carlo sont tirées de la biographie du père Will...
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