

Deuxième partie de mon article consacré au bienheureux Charles de Foucauld, assassiné le 1er décembre 1916 devant son ermitage, béatifié à Rome le 13 novembre 2005. Nous sommes dans l'année du centenaire de sa mort. Pour lire la première partie sur le blogue, cliquez ici. Le dominicain Yves Congar a écrit qu’au début de l’ère atomique, Dieu a allumé deux phares : Thérèse de Lisieux et Charles de Foucauld. Ces témoins du Christ sont très actuels, surtout en cette Année sainte de la miséricorde qui commence le 8 décembre 2015. Ils se rejoignent par une identification humble à Jésus, un retour à l’Évangile dans les petites choses du quotidien, un souci des non-croyants et une vocation à l’amour universel. Si le grain de blé ne meurt De son vivant, Charles de Foucauld désirait s’entourer de compagnons partageant son idéal de vie chrétienne, d’autant plus que recevoir le prochain signifiait, pour lui, accueillir un membre du corps...