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Le 19 avril 2005, je me souviens, j'étais devant la télé avec mon épouse. La fumée blanche indiquait que nous avions un nouveau pape. Moment historique pour nous et pour l'Église. Contrairement à plusieurs, je pressentais depuis le début que ce serait le cardinal Ratzinger, grand connaisseur de Vatican II et fidèle serviteur de l'Église. J'ai crié de joie quand j'ai entendu son nom. Il devenait Benoît XVI, évêque de Rome, successeur de Pierre et de Jean-Paul II. Loin des idées reçues et des préjugés, le monde allait connaître un pape affable et doux, d'une très grande foi, au style effacé et humble, à l'intelligence remarquable. Si je retiens une parole de l'Évangile qui lui va à merveille, c'est bien quand Jésus dit qu'il est doux et humble de coeur. Il termine son pontificat comme il l'a commencé, dans cette douce liberté que donne la force de l'humilité. Il faut méditer sa...