Le 7 septembre 2019, le pape François confiait à des religieuses de Madagascar : « Thérèse m’accompagne à chaque pas et je veux en donner témoignage. Elle m’a enseigné à avancer, malgré mes douleurs. Mais c’est une amie fidèle et elle montre la route à suivre. » Dans l’exhortation apostolique « C’est la confiance », il témoigne de sa proximité avec Thérèse en misant avec elle sur la confiance en l’amour miséricordieux. Le titre reprend la phrase célèbre de la jeune carmélite : « C’est la confiance et rien que la confiance qui doit nous conduire à l’Amour » (1). François affirme que ces mots « résument le génie de sa spiritualité et suffiraient à justifier qu’on l’ait déclarée Docteur de l’Église » (2). À l’école de Thérèse depuis longtemps, il sait par expérience que « c’est la confiance qui nous permet de remettre entre les mains de Dieu ce que lui seul peut faire » (45). Ce texte d'une trentaine de...
Le blogue de Jacques Gauthier
Jean-Paul II a voulu que le deuxième dimanche de Pâques soit appelé « Dimanche de la Divine Miséricorde ». Jésus lui-même en avait manifesté le désir en 1931 à une humble religieuse polonaise de vingt-cinq ans, sœur Faustine Kowalska, canonisée le 30 avril 2000. Elle va renouveler le culte de la miséricorde divine au moment où le monde se trouve entre deux guerres mondiales et connaîtra bientôt l’atrocité des camps de concentration. La miséricorde divine est un élément clef du pontificat de saint Jean-Paul II. Il est entré dans la vie éternelle le 2 avril 2005, la veille même du Dimanche de la Divine Miséricorde. En apparaissant à ses Apôtres, le Christ ressuscité leur donne sa paix et il souffle sur eux en disant : « Recevez l’Esprit Saint » (Jean 20, 22). Il les envoie dans le monde pour une mission de salut, de pardon, de miséricorde. Thomas fait l’expérience de ce salut...
Thérèse Martin est née le 2 janvier 1873 à Alençon. Qu’on l’appelle la petite Thérèse, Thérèse de Lisieux ou Thérèse de l’Enfant Jésus, la « plus grande sainte des temps modernes » n’a pas fini de faire parler d’elle. Enfant chérie de l’Église et du monde, elle a dit peu de temps avant sa mort, le 30 septembre 1897 : « Vous verrez, tout le monde m’aimera. » Depuis, elle passe son ciel à faire du bien sur la terre. Canonisée en 1925, elle est déclarée patronne des missions deux ans plus tard, puis patronne secondaire de la France en 1944, avec Jeanne d’Arc. Reconnaissance de l’UNESCO L’État français, soutenu par l’Italie et la Belgique, a présenté la candidature de son illustre citoyenne à l’UNESCO afin de souligner en 2023 le 150e anniversaire de sa naissance. Ce sera aussi le 100e anniversaire de sa béatification, le 29 avril 1923. La Conférence des pays membres de...
2 juin 2022: 50e anniversaire de ma rencontre du Christ. Ce que j'ai appelé ma "conversion" a été pour moi une nouvelle naissance. Je relate cet événement phare dans un chapitre de mon autobiographie spirituelle En sa présence, où je relève les traces de Dieu dans ma vie. Ce livre de 335 pages, avec des photos à l'intérieur, paraîtra le 14 septembre 2022 en France aux éditions Artège et au Canada chez Novalis. Voici un large extrait de ce chapitre. Le 2 juin 1972, je pars sur le pouce avec mon ami Réjean pour l’État doré, chanté par Julien Clerc, Maxime Le Forestier, Robert Charlebois, The Mamas & The Papas. J’espère y rencontrer des Jesus people que j’ai vus à la télévision dans un reportage sur San Francisco, ville emblématique de la contre-culture. Tôt le matin, mon père me dit : « Tu cherches beaucoup ! » Je ne sais pas trop quoi répondre,...
L’amour des ennemis et le pardon mutuel sont au cœur de l’Évangile. Cet amour est réel et exigeant, car il est totalement gratuit. Il ne s’agit pas seulement d’aimer les personnes qui nous aiment, mais d’aimer à la manière de Dieu, librement, pleinement, sans rien demander en retour. Jésus parle de cet amour inconditionnel, qui s’étend jusqu’aux ennemis, au-delà de tout romantisme : « Je vous le dis, à vous qui m'écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent » (Luc 6, 27). Père, pardonne-leur Il y a deux mille ans, Jésus a déclenché une révolution d’amour qui est toujours en marche. Il brise le cercle de la vengeance et de la violence en prônant un amour d’estime et de bienveillance pour l’ennemi : « Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient » (Luc 6, 28). La vie de Jésus témoigne de cet amour-don, spécialement...
Seigneur Jésus, vois ma douleur,immense comme le cœur.Je la cache dans tes plaies,médecin des âmes et des corps. Aie pitié de moi, viens à mon aide.La croix me porte jusqu’à ton visageJe ne sais rien de la souffrance,sinon ton nom murmuré en silence. Tu te tiens là, au plus haut de moi,quand le doute me tire vers le bas.Je t’offre une place près du lit,pour que ma tête s’y appuie la nuit. Ma prière se perd-elle dans le néant?Je communie à ton cri d’enfantement :"Mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?"Tu as pris nos angoisses dans ta passion. Sûr de ton amour et de ma faiblesse,je veux unir ma volonté à la tienne,prolonger le oui de notre mère Marie,remettre ma vie entre les mains du Père. Ô toi, le Premier-né d’entre les morts,je crois en la puissance de ta résurrection.Transforme le mal en sainteté et solidarité,pour la conversion et le salut du monde. Prière proposée pour la Journée...
Encore un livre sur Thérèse de Lisieux, diront certains. Oui, mais celui-ci n’est pas comme les autres. Préfacé par Natasha St-Pier, qui chante si bien les poèmes de Thérèse, le livre se présente comme une interview avec Thérèse, une longue conversation amicale qui prend la forme d’un dialogue. Je pose des questions à Thérèse, elle me « répond » à partir de ses écrits et de ses paroles. Le ton est spontané, le style, direct. Je lui donne la parole, et elle la prend en toute simplicité. La fidélité à ses textes est totale : je m’efface derrière eux. Je n’ai qu’à puiser dans ses mots comme un pêcheur de perles, assuré de l’abondance de la récolte. Je plonge avec mes questions, je remonte avec ses réponses et je respire mieux, surtout lorsque les eaux semblent plus troubles, plus noires. L’objectif de ce livre est de favoriser une rencontre personnelle, un contact intime, avec cette...
Thérèse, toi l’amour,qui as avancé librement vers le Pèredans la confiance d’un enfant qui se sait aimé,fais que nous nous abandonnions à sa grâce,que nous ne comptions pas sur nos propres efforts,pour ne pas lui ravir la joie de nous aimer.Apprends-nous l’acceptation sereine de notre petitesse,afin que surabonde en nous le don de sa miséricorde,cet élan de vie et de joie entre le Fils et l’Esprit. Thérèse, maîtresse de vie spirituelle,qui as révélé la tendresse de Jésus Christ,en marchant sur une petite voie de sainteté,éloigne de nous ce qui conduit à la haine.Nous sommes si faibles et si fragiles,notre liberté est si souvent enchaînée,mais regarde notre désir d’aimer,demande à Jésus de le combler,pour que nous vivions dans le Père et l’Esprit. Thérèse, patronne des missions,qui t’es laissé consumer dans l’Esprit Saint,prépare-nous à l’accueillir lorsqu’il vientdans les simples événements de notre vie.Rends-nous disponibles à sa flamme bienfaisante,dans le cœur à cœur de la...
Dina Bélanger est morte de tuberculose le 4 septembre 1929 à l’âge de trente-deux ans. Nous célébrons donc cette année le 90e anniversaire de son entrée dans la vie éternelle. J'ai animé un triduum-retraite sur sa spiritualité chez les Religieuses de Jésus-Marie à Québec, dans la nouvelle paroisse Bienheureuse-Dina-Bélanger. C'était la première fois qu'une telle activité avait lieu, ainsi que le lancement de mon livre, Je donnerai de la joie. Autre nouveauté, qui sera peut-être le début d'une tradition: nous avons fait un pèlerinage en marchant sur les pas de Dina dans les rues de Québec. Une vie centrée sur le Christ Qui est cette âme privilégiée qui n'a voulu vivre que pour Jésus, à la suite de la Vierge Marie, et qui avait écrit: « Jésus m’a mise sur la terre pour ne m’occuper que de lui » ? Dina naît à Québec le 30 avril 1897, année de la mort de sa patronne, Thérèse...
Le Carême me semble un bon temps pour réfléchir sur la sainteté, qui est toujours une expérience de la miséricorde divine. L’invitation est lancée au lundi de la première semaine de Carême : « Soyez saints, car moi, le Seigneur votre Dieu, je suis saint » (Lévitique 19, 2). À la fin de cette première semaine, Jésus reprend l’invitation comme en écho : « Vous donc, vous serez parfaits comme votre Père céleste est parfait » (Matthieu 5, 48). Mais que signifie être saint, est-ce synonyme de perfection et de canonisation ? Si l’habit ne fait pas le moine, la canonisation ne fait pas tous les saints. Et pourtant, « nous sommes tous appelés à la sainteté » (Vatican II). La sainteté relève de notre être baptismal, la canonisation vient de l’Église. Lorsque nous regardons de quoi nos journées sont faites, personne ne pense être canonisé. Ne marchons-nous pas sur le chemin de la sainteté avec nos imperfections ? Voici quelques questions...
La vie de Marguerite-Marie Alacoque est une histoire de cœur. Tout commence à Paray-le-Monial, en ce grand siècle de la spiritualité qu’on a appelée l’École française, qui voit défiler les François de Sales, Jeanne de Chantal, Bérulle, Olier, Vincent de Paul, Jean Eudes. Jésus se choisit une jeune religieuse, de l’ordre de la Visitation, pour révéler au monde et dans l’Église l’amour brûlant de son cœur. Jésus la nomme « la disciple bien-aimée de mon sacré Cœur ». Accueillir l’amour Philiberte Lamyn et Claude Alacoque, juge et notaire dans le Charolais, en Bourgogne, ont trois garçons quand vient au monde, le 22 juillet 1647, Marguerite. L’enfant vivra une petite enfance heureuse. Vers l’âge de quatre ou cinq ans, elle fait un séjour prolongé chez sa marraine. Elle y entend parler de vie consacrée à Dieu et de vœux religieux. Prévenue par la grâce, elle prononce ces paroles qui marqueront sa vie : « Ô mon Dieu, je...
Lorsque j’étais enfant, le nom de Jean de Dieu évoquait pour moi l’asile de Montréal. Dire que quelqu’un était enfermé à Saint-Jean-de-Dieu signifiait quasiment qu’il était enterré vivant. Je ne savais pas que l’hôpital psychiatrique empruntait son nom à un homme qui fut bouleversé par la souffrance humaine et par l’amour de Dieu. Une vie orageuse Joao Ciudad naît au Portugal en 1495 de parents pauvres, mais chrétiens. Vers l’âge de huit ans, il quitte sa famille et est enlevé par un inconnu qui l’emmène en Espagne. Commence alors une vie errante où il sera tour à tour berger, paysan, soldat de Charles Quint — il est blessé en 1523 —, ouvrier agricole en Afrique, marchand ambulant de livres de piété à Gibraltar et libraire à Grenade en 1538. C’est dans la quarantaine que le Christ l’attend. Jean est bouleversé par le sermon de celui qui deviendra saint Jean d’Avila, que...
Noël, c’est Dieu qui descend jusqu’à nous et qui se laisse voir dans un visage humain, l’enfant de Bethléem. « Le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous » (Jean 1, 14). Étonnante humilité du Dieu fait homme qui s’abaisse par amour pour nous élever jusqu’à lui. Le mystère de l’Incarnation est l’acte sublime qui nous révèle que Dieu est un être d’humilité et d’amour. « Dieu, personne ne l’a jamais vu ; le Fils unique, lui qui est Dieu, lui qui est dans le sein du Père, c’est lui qui l’a fait connaître » (Jean 1, 18). Dieu seul est humble Le christianisme est fondé sur l'humilité d'un Dieu Père qui ne garde rien pour lui-même en nous envoyant son Fils « doux et humble de cœur » (Matthieu 11, 29). Notre misère attire sa miséricorde. Le jésuite François Varillon écrit dans son livre L’humilité de Dieu : « Dieu seul est humble. L’homme ne l’est pas,...
Il arrive que l’on me demande de prier en portant dans mon coeur une intention spéciale. Il ne s’agit pas ici de ces demandes de prières que l’on retrouve sur Internet, comme avoir du succès, de l’argent, où l’on exhorte ceux et celles qui prient à ne pas briser la chaîne de prière, sinon personne ne sera exaucé. Là, on tombe carrément dans la superstition et la pensée magique. Prier, ce n’est pas soumettre Dieu à notre volonté, mais entrer dans son désir de salut et de bonheur pour chacun de nous. Dans une interview que j’accordais sur l'efficacité et la fécondité de la prière, je répondais que Dieu n'est pas un guichet automatique, une loterie où l'on achète un billet : « Prier, c'est se mettre en présence de Dieu, s'abandonner pour s'en remettre à Lui, et accueillir la paix qu'il nous donne » (La Croix, 25 janvier 2014, p....
L’Année sainte de la miséricorde se termine à Rome le 20 novembre. Le pape François a voulu que cette année soit un parcours de conversion, un temps de compassion et de dialogue. Comment avez-vous vécu cette année de grâce ? En accomplissant des gestes de miséricorde ? En franchissant une porte sainte ? En contemplant le Christ ? En participant à des célébrations particulières ? En lisant des livres sur ce sujet, comme celui du pape François, Le nom de Dieu est miséricorde, dans lequel il montre que la miséricorde est la manière dont Dieu pardonne, elle est sa carte d'identité : "Notre péché devient alors une sorte de bijou que nous pouvons Lui offrir, pour Lui donner la consolation de nous pardonner" (p. 73). Saint Jean XXIII parlaient de nos misères comme le trône de la miséricorde divine. Cette année jubilaire qui s’achève nous fait prendre conscience que la miséricorde ne finit pas, qu’elle nous unit...
Le journal Le Figaro et les Presses de la Renaissance viennent de lancer une collection de quarante livres sur les grandes figures de la spiritualité chrétienne qui font partie de notre paysage culturel et spirituel. Chaque livre cartonné de 140 pages, orné d'une dizaine d'illustrations, est écrit par un auteur différent. Il est divisé en trois parties: la vie, le message, l'héritage. On retrouve également en annexes: une anthologie des textes du témoin, la vie en quelques dates, un abécédaire et une bibliographie. La collection est dirigée par le comédien Michael Lonsdale. Chaque livre contient un CD d'une vingtaine de minutes où Lonsdale lit de sa voix chaude et profonde les écrits emblématiques de la personnalité présentée. On m'a demandé de faire ces deux docteurs mystiques de l'union à Dieu: le carme saint Jean de la Croix (1542-1591, à paraître le 16 février 2017) et le cistercien Bernard de Clairvaux ( 1090-1153,...
Mère Teresa de Calcutta sera canonisée à Rome le 4 septembre durant l’Année sainte de la miséricorde. À la suite de Jésus, elle aura été un visage crédible de la miséricorde du Père pour notre temps. Elle se présentait ainsi, non sans humour : «De sang, je suis albanaise, de citoyenneté, indienne ; de religion, catholique ; par ma mission, j’appartiens à tout le monde ; mais mon cœur n’appartient qu’à Jésus». Voici un résumé de sa vie et de son message à partir de mon livre J’ai soif. De la petite Thérèse à Mère Teresa (Parole et Silence), réédité en poche à l’occasion de sa canonisation. N’être qu’à Jésus La spiritualité de la sainte de Calcutta pourrait se résumer en trois mots : Tout pour Jésus. «Only for all Jesus», répétait-elle souvent, comme une devise inscrite en son cœur. En avril 1942, elle avait prononcé un vœu privé : donner à Jésus tout ce qu’il peut...
Dans la bulle d’indiction de l’Année sainte, Misericordiae Vultus (Le visage de la miséricorde), le pape François exprime ce vœu : « Combien je désire que les années à venir soient comme imprégnées de miséricorde pour aller à la rencontre de chacun en lui offrant la bonté et la tendresse de Dieu! Qu’à tous, croyants ou loin de la foi, puisse parvenir le baume de la miséricorde comme signe du Règne de Dieu déjà présent au milieu de nous. » (n. 5) Ce que désire le Pape, c’est que nous soyons des témoins de la miséricorde, à l’exemple du bon samaritain. Cette histoire montre un homme de cœur qui va vers l’autre pour lui offrir la bonté et la tendresse de Dieu. C’est ce que Jésus a toujours fait. Amour de Dieu et du prochain Pour nous, chrétiens et chrétiennes, qui vivons après la résurrection de Jésus, nous lisons la Bible à travers le...
Un jour de mes vingt ans, j'avais décidé d'aller en Californie sur le pouce avec un ami pour mieux connaître des Jesus peoples vus à la télévision. La police américaine nous ramena au Québec. J’avais demandé à Dieu : « Si tu existes, révèle-toi à moi. » Le 2 juin 1972, il me répondit par Marie et une communauté de jeunes à Drummondville. À la prière du soir, j’ai récité trois Je vous salue Marie avec d’autres jeunes ; j’ai basculé dans la joie et retrouvé le Dieu de mon enfance. J’ai été touché par le Christ, blessé par sa miséricorde; mon cœur ne s’est pas refermé. Depuis ce jour, la joie est pour moi la couleur de Dieu, l’essence même du christianisme, avec l’amour. Raconter mon aventure de conversion, c’est l’inscrire dans une histoire biblique qui crée du sens et dévoile ce qui est caché à l’interprétation. L’Esprit Saint m’a insufflé un grand amour...
Qu’on l’appelle sacrement du pardon, de pénitence, ou plus simplement confession, le sacrement de la réconciliation est par excellence le sacrement de la miséricorde du Père qui resplendit sur le visage du Christ. J'en ai déjà parlé dans ce blogue l'an dernier: Pour se préparer au sacrement de la réconciliation. L'initiative des "24 heures pour le Seigneur", qui s'inscrit dans la perspective du 4e dimanche de Carême, est une belle occasion de vivre ce sacrement de la miséricorde. Miséricorde : le cœur du mystère de la foi chrétienne. L’appel est lancé à tous pour entrer dans ce mystère de foi avec confiance et joie : "Au nom du Christ, nous vous le demandons, laissez-vous réconcilier avec Dieu" (2 Corintiens 5, 20). Un sacrement mal compris Aujourd’hui, le sacrement de la réconciliation est délaissé et dénigré par plusieurs. Certes, des confesseurs n’ont pas toujours été tendres envers les pénitents, mais la désaffection de ce sacrement...
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